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Pascale Labbé
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Chanteuse
Discographie :

La grande bleue
Musique imaginaire de la méditerranée
Pascale Labbé Jean Morières
Ping pong (Nûba/Orkhêstra)
Pascale Labbé Jean Morières
Wakan (Nûba/Orkhêstra)
Pascale Labbé
Si loin si proche (Nûba/Orkhêstra)
Jean Tricot
La mécanique de l’aurore (Empreinte digitale/Harmonia Mundi)
ICIS
Les instants chavirés toute la musique improvisée In situ (In situ/Harmonia Mundi)
Les lèvres nues (les murs d’aurelle-Nûba/Orkhêstra)
Cotinaud fait son Queneau (Musivi/Mélodie)
Rimbaud et son double (cd/dvd Musivi/Mélodie)
Pascale Labbé Jean Morières
Un bon snob nu (Signature) 

photo : Patrick Eoche
Elle pratique très tôt le chant et la guitare en autodidacte, tout en prenant des leçons de piano et de danse classique.
De 1968 à 1978 .elle fréquente assidûment l'ARC de Clichy. Elle y rencontre un grand nombre d'artistes: musiciens de jazz, danseurs, peintres, comédiens, créateurs de bandes dessinées. Elle y prend aussi des cours de guitare jazz et de danse contemporaine. C'est là qu'elle fait ses débuts sur scène dans un groupe de folk celtique.
En 1978, elle part finir ses études de psychologie et de musicothérapie à Montpellier. Elle y rencontre le flûtiste saxophoniste Jean Morières, lors d'un concert de "Bambou" (folklore imaginaire). Elle participe au collectif de musiciens "le Sentier de la Fontaine", joue du bouzouki dans "la Grande Bleue" (folklore imaginaire de la Méditerranée), "El Canto Général" de Mikis Théodorakis, accompagne les premiers matchs d'improvisation théâtrale sur Montpellier, compose et joue pour le théâtre, le nouveau cirque, la danse (Tournée en Guyane). En 1984, elle crée l'association Nûba avec Jean Morières:
Création de spectacles de musique à la lisière du jazz, des musiques traditionnelles et contemporaines: quintet et quartet Nûba, duo ping pong, quintet azimut, quintet Wakan' (coproduction avec le festival Aujourd'hui Musique de Perpignan et le théâtre Rutebeuf à Clichy)
Nûba devient aussi en 1990 un lieu de diffusion de jazz et de musiques improvisées (le Salon de musique de Nûba), et un label de disques adhérent aux Allumés du Jazz et distribué par Orkhêstra international.

Jean Morières et Pascale Labbé créent ensuite "Impressions de voyages ", pour les Jeunesses Musicales de France et tournent avec ce spectacle dans toute la France jusqu'en 1995;
Durant toute cette période, Pascale Labbé continue de se former, elle prend des cours de chant lyrique à Montpellier, participe à des stages de jazz et de musique improvisée avec
Christiane Legrand, Tamia et Pierre Favre, fait une formation d'un an à l'IMFP avec le trompettiste Michel Barrot, participe au stage opéra de l'ATEM à Nanterre.
En 1996, elle enregistre en concert le cd "ICIS, les Instants Chavirés, toute la musique improvisée in situ": compositions de
Guillaume Orti, avec Sophie Agnel, Noël Akchoté, Pierre Bernard, Gilles Coronado, Marc Ducret, Norbert Lucarain, Thierry Madiot, Paul Rogers, Gilbert Roggi.
A partir de ce moment, elle privilégie les rencontres improvisées:
C'est ainsi qu'elle joue aussi avec
Didier Roth, Didier Petit, Dominique Regef, Jean-Pierre Jullian, Bruno Meillier, Keyvan Chemirani, François Tusques, Stephen Buchanan......
Elle organise des rencontres avec des DJ et ouvre un espace pour les musiques improvisées " libres" au Jazz action à Montpellier, où elle enseigne aussi le chant depuis 1997.

En 1997, elle produit un disque de rencontres improvisées "Si loin, si proche" sur le label Nûba.
Elle se produit au festival de Radio France Montpellier Languedoc- Roussillon (opéra de John Adams), au festival de jazz de Perpignan, au Jam à Montpellier, au festival des musiques innovatrices de St Etienne, aux Instants Chavirés à Montreuil, au festival de Germ Louron.
En 2000, elle crée son propre trio avec
Hélène Breschand à la harpe et Sophie Agnel au piano ( Ajmi, (Avignon), Nancy (Emile 13),festival de Luz St Sauveur.
Elle participe ensuite à la création de
François Cotinaud "Son, Fabrique et Voix" avec Fred Pallem, Yannick Tallet, Gilles Coronado, Serge Adam, Luis Vina , entame une collaboration autour de l'improvisation avec l'association "les murs d'Aurelle" (pratique artistique en milieu psychiatrique), collabore avec Jean-Jacques Birgé à des projets multimédias, participe aux "luisances sonores" au Vauban à Brest.
L'année 2002 est placée sous le signe du duo, avec
Jean Morières (nouveau disque en préparation), avec Hugues Germain (paysages sonores electro acoustique et voix), avec la pianiste Christine Wodrascka (invitation au festival des musiques innovatrices de St Etienne.

En 2002 elle joue en duo avec Christine Wodrascka (piano), participe à la création "François Cotinaud fait son Queneau", tourne avec les participants au disque "les lèvres nues" (improvisation vocale avec des personnes ayant recours à des soins psychiatriques).

En 2003, elle joue en quartet avec Christophe Rocher, Edward Perreau, Paul Rogers, enregistre avec le bagad du cap sizun sous la direction du paysagiste sonore Hughes Germain, participe à la création de J J Birgé "Sarajevo, suite et fin" avec jjb et Nicolas klauss au festival "les 38 èmes rugissants". Elle enregistre un projet autour du langage avec Beatrice Sauvageot, Tania Pividori, André Minvielle, Didier Petit, Denis Colin, Jean pierre Jullian, Yves Robert. Elle tourne acuellement avec le nouveau projet de text up "parade sauvage" (textes d'Arthur Rimbaud) , prepare un disque en duo avec Jean Morières pour la collection "Signature" de Radio France.

Parallèlement à ces concerts, Pascale Labbé est fréquemment sollicitée pour des activités de formation (Centre Chorégraphique de Montpellier, formation professionnelle de l'acteur à Perpignan, etc.). Elle enseigne le chant et la musique improvisée au Jam (jazz action à Montpellier) depuis 1997.

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